Rigadin et la fourmilière – Georges Monca – 1913
Fiche générale
Numéro de film : 6362 Genre : Scène comique Production : Pathé frères Édition : Pathé frères Réalisateur : Georges Monca Interprètes : Prince Scénario : Frédéric Mauzens
Production
Production : Pathé frères Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : Georges Monca Scénario : Frédéric Mauzens Interprètes : Prince
Fiche technique
Résumé et notes
Genre : Scène comique Métrage : (220 m) Code télégraphique : Soliste
RÉSUMÉ
Par un jour de printemps, Rigadin, avide des pures joies de la campagne, prend son kodak, et se rend dans une jolie localité de la banlieue parisienne.Au bord de l’eau, il aperçoit une charmante jeune femme et, artiste et connaisseur, s’empresse de la fixer sur la plaque sensible. Mais en opérant, il s’est par mégarde, assis au beau milieu d’une fourmilière, dont les bestioles effarées, se vengent en le criblant de cuisantes piqûres. N’y tenant plus, Rigadin quitte sa jaquette, puis son veston et bientôt, le voilà en chemise. Deux vieilles filles pudibondes, le voyant dans ce simple appareil, crient au scandale et requièrent un agent. Celui-ci, sans vouloir rien entendre des explications de notre ami, l’arrête pour attentat aux bonnes moeurs. Très ennuyé de cette aventure, Rigadin s’adresse à un avocat, mais celui-ci, obligé de s’absenter, remet son dossier aux mains d’un confrère. Quelle n’est pas la surprise et la joie de Rigadin en reconnaissant dans ledit avocat sa jolie promeneuse du bord de l’eau. Me Cicéron, c’est son nom, plaide si spirituellement la cause de son client qu’elle obtient sans peine son acquittement. Et c’est autour de Rigadin de plaider sa cause auprès de Me Cicéron et il faut croire qu’il sut se montrer éloquent car il obtient la main de la jolie avocate.
En savoir plus
Annoncé dans Ciné-Journal n°282, 17.1.1914
Sujet dans le Bulletin Pathé n°51
Sortie : Omnia Pathé, Paris, 30.1 au 5.2.1914
Date de la publication électronique : | 29 June 2009 |
Sources : |
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