Reine s’ennuie (La) (2ème épisode : La Chambre de fer) – George Brackett Seitz – 1918
Fiche générale
Titre original : The Fatal Ring Numéro de film : 8066 Genre : Scène d’aventures policières Production : Astra Film Corporation Édition : Pathé frères Réalisateur : George Brackett Seitz Interprètes : Pearl White (Pearl Standish) Earl Fox Warner Oland Floyd Buckley Caesare Gravina Ruby Hoffman Henry G. Sell Mattie Ferguson Scénario : Bertram Millhauser d’après une histoire de Fred Jackson
Production
Titre original : The Fatal Ring Production : Astra Film Corporation Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : George Brackett Seitz Scénario : Bertram Millhauser d’après une histoire de Fred Jackson Interprètes : Pearl White (Pearl Standish) Earl Fox Warner Oland Floyd Buckley Caesare Gravina Ruby Hoffman Henry G. Sell Mattie Ferguson
Fiche technique
Résumé et notes
Genre : Scène d’aventures policières Métrage : (510 m)
RÉSUMÉ
Sankara est blâmé pour n’avoir pas réussi et la grande Prêtresse lui donne quatre jours pour réussir. Il va voir Pearl et ils décident de s’associer. Ils se rendent chez Carslake mais celui-ci disparaît dans un énorme coffre-fort. Bientôt, ils sont étouffés par de la fumée. Brusquement une trappe s’ouvre sous leurs pieds et ils se retrouvent dans une sorte de fosse où sont également emprisonnés la grande Prêtresse et ses gardes du corps. Bientôt, hélas, les parois de la cage se rapprochent lentement menaçant de les écraser.
En savoir plus
Annoncé dans Ciné-Journal, du n° 441/137, 26.1.1918 au n° 455/151, 4.5.1918
Sortie : Omnia Pathé, Paris, du 1.3 au 7.6.1918
Note 1 : La Reine s’ennuie est l’adaptation du serial The Fatal Ring qui comprenait 20 épisodes ramenés en France à 15 épisodes. Il débuta aux États-Unis le 8.7.1917. Les résumés des épisodes sont tirés des notices explicatives parues dans le bi-mensuel Filma du n° 19 du 1/15.3.1918 au n° 26 du 16/30.6.1918. Kalton C. Lahue écrit dans son ouvrage déjà cité : Pearl White made the most of her rôle in The Fatal Ring and added fresh laurels to her reputation.
Note 2 : Louis Delluc écrivait à propos de Pearl White : Pearl White me plaît beaucoup. Il est entendu que ses films sont idiots ou, ce qui est pis, idiotement fait. Les gens qui ont tourné Les Mystères de New York, Les Exploits d’Elaine, La reine s’ennuie, sont inexcusables d’avoir tiré un si médiocre parti des éléments dont ils disposaient… Du moins ils profitent du nom, de la bonne humeur, de l’autorité de Pearl White qui plaît à tous beaucoup et me plaît davantage. Cinégraphiquement, elle est très au point. Son allure, ses gestes, son minimum d’expression et sa personnalité sportive la rendent tout à fait précieuse pour l’écran.
Date de la publication électronique : | 09 September 2009 |
Sources : |
|