Reine s’ennuie (La) (11ème épisode : La Reine s’amuse) – George Brackett Seitz – 1918
Fiche générale
Titre original : The Fatal Ring Numéro de film : 8075 Genre : Scène d’aventures policières Production : Astra Film Corporation Édition : Pathé frères Réalisateur : George Brackett Seitz Interprètes : Pearl White (Pearl Standish) Earl Fox Warner Oland Floyd Buckley Caesare Gravina Ruby Hoffman Henry G. Sell Mattie Ferguson Scénario : Bertram Millhauser d’après une histoire de Fred Jackson
Production
Titre original : The Fatal Ring Production : Astra Film Corporation Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : George Brackett Seitz Scénario : Bertram Millhauser d’après une histoire de Fred Jackson Interprètes : Pearl White (Pearl Standish) Earl Fox Warner Oland Floyd Buckley Caesare Gravina Ruby Hoffman Henry G. Sell Mattie Ferguson
Fiche technique
Résumé et notes
Genre : Scène d’aventures policières Métrage : (645 m)
RÉSUMÉ
Carslake sur le point d’être pris se jette dans la rivière. Revenu à la surface, il s’accroche derrière le canot qui emporte Pearl, le reporter et le Roi des Receleurs. Plus tard, Carslake dépose le diamant chez le prêteur sur gage Mosès et prend une chambre en face de la boutique. L’Araignée, caché, derrière une toile peinte représentant l’intérieur de la boutique découpe la porte de la chambre blindée et s’empare du diamant. Mais Carslake qui a deviné arrive, déguisé en policier et enlève Miss Standish.
En savoir plus
Annoncé dans Ciné-Journal, du n° 441/137, 26.1.1918 au n° 455/151, 4.5.1918
Sortie : Omnia Pathé, Paris, du 1.3 au 7.6.1918
Note 1 : La Reine s’ennuie est l’adaptation du serial The Fatal Ring qui comprenait 20 épisodes ramenés en France à 15 épisodes. Il débuta aux États-Unis le 8.7.1917. Les résumés des épisodes sont tirés des notices explicatives parues dans le bi-mensuel Filma du n° 19 du 1/15.3.1918 au n° 26 du 16/30.6.1918. Kalton C. Lahue écrit dans son ouvrage déjà cité : Pearl White made the most of her rôle in The Fatal Ring and added fresh laurels to her reputation.
Note 2 : Louis Delluc écrivait à propos de Pearl White : Pearl White me plaît beaucoup. Il est entendu que ses films sont idiots ou, ce qui est pis, idiotement fait. Les gens qui ont tourné Les Mystères de New York, Les Exploits d’Elaine, La reine s’ennuie, sont inexcusables d’avoir tiré un si médiocre parti des éléments dont ils disposaient… Du moins ils profitent du nom, de la bonne humeur, de l’autorité de Pearl White qui plaît à tous beaucoup et me plaît davantage. Cinégraphiquement, elle est très au point. Son allure, ses gestes, son minimum d’expression et sa personnalité sportive la rendent tout à fait précieuse pour l’écran.
Date de la publication électronique : | 09 September 2009 |
Sources : |
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