Les Trois masques – Krauss / Henry – 1921
Fiche générale

Numéro de film : 8721 Genre : Scène dramatique Production : Société cinématographique des auteurs et gens de lettres (SCAGL) Édition : Pathé frères Réalisateur : Krauss Henry Interprètes : Avril Gine (Speranza) ; Barbier-Krauss Charlotte (Signora della Corba) ; Krauss Henry (Della Corba) ; Rollan Henri (Paolo) ; Wague Georges (Sebastiano) ; Schutz... Scénario : Krauss Henry (d’après la pièce de Charles Méré Paris 26.4.1908) Directeur de la photographie : René Guychard
Production
Production : Société cinématographique des auteurs et gens de lettres (SCAGL) Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : Krauss Henry Scénario : Krauss Henry (d’après la pièce de Charles Méré Paris 26.4.1908) Interprètes : Avril Gine (Speranza) ; Barbier-Krauss Charlotte (Signora della Corba) ; Krauss Henry (Della Corba) ; Rollan Henri (Paolo) ; Wague Georges (Sebastiano) ; Schutz Maurice (Luigi) ; Koval René
Fiche technique
Photographie : René Guychard
Résumé et notes
Genre : Scène dramatique Métrage : (1 675 m)
RÉSUMÉ
Paolo della Corba aime Speranza mais Speranza est issue d’un milieu modeste alors que les della Corba sont riches et puissants. Les trois frères de Speranza disent à leur sœur que Paolo doit l’épouser car de plus, la jeune femme va être mère. Mais le signor della Corba refuse d’accorder son autorisation et décide d’éloigner son fils. Celui-ci fait semblant de se soumettre. Il rejoint la jeune femme qui vient de mettre au monde un garçon et ils décident de fuir tous les trois. Mais les trois frères veillent. Le Carnaval bat son plein. Le signor della Corba voit arriver dans sa demeure trois masques qui en soutiennent un quatrième. Ils le laissent à la garde du vieillard, mais lorsqu’à l’aube celui-ci soulève le masque, il a devant lui son fils mort. Et comme Speranza est morte également, il adoptera l’enfant.
En savoir plus
Sujet dans Pathé-Programme n° 14
Sortie : Omnia Pathé, Paris, 1 au 7.4.1921
Note critique : "Le texte est réduit au minimum, presque à rien. Enfin, voilà un film et non une illustration. La gradation de l’émouvant vers le pathétique est prenante jusques et y compris la scène dernière où le père apporte le petit orphelin devant le cadavre de son fils déguisé, assis au milieu des voisins agenouillés pieusement." - Lucien Wahl in "L’Information", 22.2.1921
Une autre adaptation à l'écran de la pièce de Charles Méré est celle d'André Hugon de 1929. "Le premier film parlant 100 p. 100 français".
Présentation corporative : 22/02/1921
Date de la publication électronique : | 30 September 2009 |
Sources : |
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