Quatre vingt treize (deuxième époque) – Albert Capellani et André Antoine – 1921
Fiche générale
Genre : Scène historique Production : Société cinématographique des auteurs et gens de lettres (SCAGL) - 1914 Édition : Pathé frères Réalisateur : Albert Capellani et André Antoine Interprètes : Philippe Garnier (le marquis de Lantenac) Paul Capellani (le vicomte Gauvain) Georges Dorival (sergent Radoub) Maximilien Charlier (L’Imanus) Henry Krauss (Cimourdain) Maurice Schutz (Grandcœur) Jean Liezer Charlotte Barbier-Krauss (La Flécharde) Scénario : d’après le roman de Victor Hugo (1874) Adaptation : Alexandre Arnoux Directeur de la photographie : Pierre Trimbach Karémine Mérobian Chef décorateur : Vallé
Production
Production : Société cinématographique des auteurs et gens de lettres (SCAGL) - 1914 Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : Albert Capellani et André Antoine Scénario : d’après le roman de Victor Hugo (1874) Adaptation : Alexandre Arnoux Interprètes : Philippe Garnier (le marquis de Lantenac) Paul Capellani (le vicomte Gauvain) Georges Dorival (sergent Radoub) Maximilien Charlier (L’Imanus) Henry Krauss (Cimourdain) Maurice Schutz (Grandcœur) Jean Liezer Charlotte Barbier-Krauss (La Flécharde)
Fiche technique
Photographie : Pierre Trimbach Karémine Mérobian Chef décorateur : Vallé Assistant réalisateur : Julien Duvivier
Résumé et notes
Genre : Scène historique
RÉSUMÉ
L’insurrection est devenue formidable, grâce surtout au marquis de Lantenac. Mais bientôt, il est assiégé dans sa tour Gauvain, la Tourgues comme l’appellent les Bretons. Auparavant, les chouans avaient fait prisonniers les trois enfants de La Flécharde, en pensant qu’ils pourraient être utiles dans un échange. Le fort est pris marche par marche mais Lantenac et quelques uns des siens réussissent à s’enfuir non sans avoir au préalable, mis le feu au bâtiment où sont enfermés les enfants. Il est impossible de les délivrer. Les cris de la mère revenue chercher ses petits parviennent au marquis qui fait demi tour, ouvre la porte et délivre les enfants. On va le laisser partir lorsque Cimourdain lui met la main sur l’épaule. La veille de l’exécution, Gauvain vient rendre visite à son oncle et lui donne son manteau et son chapeau pour qu’il puisse fuir. Le lendemain matin, Cimourdain constate le fait et décide de guillotiner le neveu. Mais au moment où le couperet tombe, Cimourdain se tue d’un coup de pistolet.
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Sujet dans Pathé-Programme n° 27
Sortie : Omnia Pathé, Paris, 1 au 7.7.1921
Date de la publication électronique : | 30 September 2009 |
Sources : |
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