Roue (La) (4ème chapitre : Symphonie blanche) – Abel Gance – 1923
Fiche générale
Numéro de film : 9026 Genre : Tragédie des temps modernes en un prologue et quatre chapitres Production : Films Abel Gance Édition : Pathé Consortium Cinéma Réalisateur : Abel Gance Interprètes : Séverin-Mars (Sisif) Gabriel de Gravone (Élie) Ivy Close (Norma) Georges Térof (Machefer) Gil Clary (Dalilmah) Maxudian (le minéralogiste) Louis Monfils (Papahan) Géo Dugast (le cheminot Jacobin)... Scénario : Abel Gance Directeur de la photographie : Léonce Henry Burel Marc Bujard et Maurice Duverger Compositeur de la musique : Arthur Honegger
Production
Production : Films Abel Gance Édition : Pathé Consortium Cinéma
Fiche artistique
Réalisateur : Abel Gance Scénario : Abel Gance Interprètes : Séverin-Mars (Sisif) Gabriel de Gravone (Élie) Ivy Close (Norma) Georges Térof (Machefer) Gil Clary (Dalilmah) Maxudian (le minéralogiste) Louis Monfils (Papahan) Géo Dugast (le cheminot Jacobin) Pierre Magnier (Jacques de Hersan)
Fiche technique
Photographie : Léonce Henry Burel Marc Bujard et Maurice Duverger Compositeur de la musique : Arthur Honegger Assistant réalisateur : Blaise Cendrars Pierre Caron et Robert Boudrioz
Résumé et notes
Genre : Tragédie des temps modernes en un prologue et quatre chapitres Métrage : (2 510 m)
RÉSUMÉ
Élie est mort en bas dans le glacier. Sisif est définitivement aveugle. Guidé par son chien, il se traîne, portant une croix pour perpétuer la mémoire d’Élie. Norma l’a précédé. Elle se cache, mais épuisée, elle entre dans la chaumière et s’endort. Le lendemain, Sisif trouva un déjeuner chaud. Sur le moment, il se mit en colère mais peu à peu, il s’habitua et un jour ouvrit ses bras à sa petite Norma. Ce printemps là, il s’assit devant la fenêtre attendant Norma entraînée dans la ronde de la Saint Jean et il mourut là paisiblement.
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Sujet dans Pathé-Programme n° 13
Sortie : Majestic Cinéma, Marseille, 8 au 14.4.1923
Note critique : “C’est surtout par le détail que cette intrigue vaut… M. Abel Gance a créé avec une telle virtuosité et une telle émotion l’atmosphère dans laquelle baignent ses personnages, il a rendu sensibles les moindres nuances de leurs sentiments avec une telle sûreté, il a dégagé la poésie des choses même les plus rudes, rails, locomotives, avec un pathétisme si irrésistible que l’histoire du pauvre mécanicien rejoint par instants celle des héros les plus douloureux et les plus tragiques” René Jeanne, Le Petit Journal, 16.2.1923
Date de la publication électronique : | 14 October 2009 |
Sources : |
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