La Bande à papa – Guy Lefranc – 1956
Fiche générale

Pays de production : France Genre : Comédie Durée : 90 minutes Production : Cinéphonic S.G.G.C... Réalisateur : Guy Lefranc Interprètes : Fernand Raynaud Noël Roquevert Louis de Funes Noël Annie Henri Crémieux ... Scénario : Roger Pierre Adaptation : Frédéric Dard Dialogues : Frédéric Dard Directeur de production : Amand Bécue Odette Susr (administrateur)... Directeur de la photographie : Pierre Petit Chef opérateur : Gilbert Chain Roger Gleize (assistant) Compositeur de la musique : Marcel Delannoy Monteur : Robert Isnardon Chef décorateur : Georges Levy Fabre (assistant)... Costumier : Elise Servet (habilleuse)
Production
Pays de production : France Production : Cinéphonic S.G.G.C Société nouvelle Pathé-Cinéma Directeur de production : Amand Bécue Odette Susr (administrateur) Marguerite Marpeaux (secrétaire de production)
Fiche artistique
Réalisateur : Guy Lefranc Scénario : Roger Pierre Adaptation : Frédéric Dard Dialogues : Frédéric Dard Scripte : Marie-Thérèse Gabon Interprètes : Fernand Raynaud Noël Roquevert Louis de Funes Noël Annie Henri Crémieux Jean-Marc Tennberg Florence Blot Geneviève Morel Marcel Bozuffi Crochet Suzanne Dehelly Pierre Duncan Madeleine Barbulée Marcel Nastorg Jean Ozenne Lucien Guervil Albert Michel Alain Nobis Paul Barge Paul Pieger
Fiche technique
Photographie : Pierre Petit Chef opérateur : Gilbert Chain Roger Gleize (assistant) Compositeur de la musique : Marcel Delannoy Ingénieur du son : Julien Coutellier (chef-opérateur du son) guy Rophé (Recorder) Jacques Bissière (perchman) Monteur : Robert Isnardon Chef décorateur : Georges Levy Fabre (assistant) Jean Chaplain (ensemblier) Costumier : Elise Servet (habilleuse) Maquilleur : Georges Bouban Photographe de plateau : Marcel Combes Régisseur : Hubert Morial Assistant réalisateur : Claude Sautet
Résumé et notes
Genre : Comédie Durée : 90 minutes
RÉSUMÉ
Fernand est un personnage obscur et énigmatique. Il ya en lui plusieurs êtres contradictoires, qui dominent à tour de rôle suivant les circonstances, au moins aux yeux des autres. Il est semblable par là, sans doute, à tous les hommes doux et sensibles, tantôt exubérants et tantôt mélancoliques, tantôt confiants et tantôt inquiets, tantôt timides et tantôt téméraires. Oui, il est semblable aussi à beaucoup d’autres, et ce n’est donc pas, à première vue, d'un intérêt exceptionnel. Mais son destin à lui, pourtant, est remarquable. Au moment où nous les rencontrons, il n’est qu’un être méprisé. La jeune fille qu'il aime en silence ne voit en lui qu’un « pauvre type » ; ses collègue de bureau l’ont surnommé le «Dingue»; il est pour ses voisins un «minus»… Mais voilà qu’il devient en un seul jour un héros national, fêté, respecté, admiré par tous. Et que c’est elle, la belle dédaigneuse, qui se jette dans ses bras… Qu’a-t-il donc fait? Presque rien. C'est le hasard qui a tout fait. Une bande de gangsters, audacieux et inlassables, mettait en échec, depuis des années, toutes les polices de la République. Et c'est lui, le calme et timide Fernand, qui s'oppose à elle victorieusement. Mieux, il la met en fuite. Il était là où il fallait, au moment où il fallait. C'est presque tout. Le battage fait autour de cette affaire n'apporte pas seulement à Fernand une juste célébrité. Il y trouve encore d’appréciables satisfactions sentimentales. En effet, sa notoriété lui permet de retrouver son père qui l'avait abandonné depuis de longues années, et dont toute trace avait disparu. Il est aussi, et surtout, accueilli à bras ouverts par la famille de celle qu'il aime et qui, désormais, le lui rend bien. Une heureuse coïncidence fait que son futur beau-père se trouve être en même temps le Commissaire chargé de la recherche des fameux gangsters. Tout semble donc s'arranger pour le mieux. En fait, rien n'est fini, malheureusement La banque où travaille notre ami est un beau jour dévalisée en plein midi par les infatigables bandits. Il se trouve ainsi à nouveau, sans l'avoir cherché, en vedette de l'actualité. Mais le plaisir et la fierté qu'il en tire se mêlent en lui à une terrible appréhension : c'est qu'il sait désormais que le chef du gang n'est rien que son propre père. Situation cornélienne: si son père est gangster, son beau-père est commissaire de police! Que faire, aux prises avec un tel drame? Livrer son père, ou se faire le complice d'un ennemi de la Société? C'est perdre sans doute, dans ce cas, l'amour de sa fiancée. Heureusement, Fernand saura résoudre ce problème d'une manière équitable. Et il sera désormais un homme ; car on peut être timide, prudent et fiable, d'une telle aventure, on sort transformé. D'après le synopsis publicitaire du film
En savoir plus
Début du tournage: 12 octobre 1955; terminé le 26 novembre 1955. Premier représentation (Paris): 27 avril 1956 Studio: François Ier
Présentation corporative : 23/02/1956
- Sortie : 12/04/1956
Date de la publication électronique : | 01 October 2010 |
Sources : | Index de la Cinématographie française 1956-B Synopsis publicitaire du film, fonds André Bernard: collection de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé |