Fondation Jérome Seydoux PATHÉ

• Réalisateur :

  Anne Fontaine

• Interprètes :	Jean-Chrétien Sibertin-Blanc (Augustin Dos Santos)
  	Stéphanie Zhang (Caroline)
  	Guy Casabonne (Cyril Cachones)
  	Nora Habib (Shula)
  	Claude Pecher (Monsieur Poirier)
  	James Lord (Le client américain)
  	Jacqueline Vimpierre (Madama Batavoine)
  	Rahim Mazioud (Le maître d'hôtel)
  	René Boulet (Monsieur Liviescu)
  	Thierry Lhermite
  	François Sibertin-Blanc (Couloir)
  	Khiet Hoa Ly (bureau Augustin)
  	Aliou Koita (bureau Augustin)
  	Guy Lopez (bureau Augustin)
  	Marie Thiollier (chorale)
  	Jacques Gallo (voix off)
  	Patricia Portejoie (bureau Batavoine)
  	Chantal Le Floch (bureau Batavoine)

• Photographie :

  Jean-Marie Dreujou

• Chef opérateur :	Sylvain Maillard (assistant opérateur)
  	Pierre Dugowson (assistant opérateur)
  	Guillaume Dreujou (assistant opérateur)

• Ingénieur du son :	François de Morant
  	Dominique Eyraud (assistant son)
  	Delphine Roche-Goy (assistant son)
  	Stéphane Albinet (assistant son)

• Monteur :	Sylvie Gadmer
  	Hélène de la Morinerie (assistant montage)
  	Emmanuelle Baude (assistant montage)
  	Stefan Richiter (assistant montage)
  	Eliane Doran (assistant montage)
  	Katya Chelli (assistant montage)
  	Stéphanie Gaurior (assistant montage)

• Photographe de plateau :

  Isabelle Weingarten (photographe)

• Régisseur :	Marie-Thérèse Llopis
  	Lionel Rigothier
  	Damien Canivez
  	Dominique Dufoix

• Chef machiniste :	Gilbert Lucido (travelling)
  	Emile Laisne

• Assistant réalisateur :

  Audrey Robert

• Mixage :

  Jean-Pierre Laforce

• Stagiaires montage :	Frédérique Pelletier
  	Carole Richard

• Cadreur vidéo :

  Mourad Chofni

• Bruitage :

  Gadou Naudin

• Electricien :

  Jean-Claude Roux

• Etalonnage :

  Gérard Heydon

Extraits du dossier de presse du film, collection de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé

CHANSON DU FILM

Chanson portugaise des génériques de début et de fin : Desengano Chantée : Vincente da Camara, Nuno da Camara Pereira, Jose da Camera ''Je t’ai adoré… et j’ai cru au bonheur que j’espérais d’un amour pur… Tes promesses sincères et la chaleur de tes serments avaient l’éclat de la vérité… Mais un jour tu as oublié tout ce que tu m’avais dit dans tes ardentes déclarations ! Tu as abusé de nos vies avec des mots trompeurs que tu n’as jamais sentis… En regardant vers le passé telle une blessure renfermée qui me fait encore mal, je vois en tes fausses caresses que les roses ont des épines et qu’elles font aussi souffrir…''

• Sortie : 14/06/1995