Boule et Bill 2 – Pascal Bourdiaux – 2017
Fiche générale
Producteur : Cyril Colbeau-Justin Jean-Baptiste Dupont Production : LGM Cinéma Pathé... Distribution : Pathé Distribution Réalisateur : Pascal Bourdiaux Interprètes : Charlie Langendries (Boule) Manu Payet (Voix de Bill) Franck Dubosc (Papa de Boule) Mathilde Seigner (Maman de Boule) Jean-François Cayrey (Antoine Berigaud) Nora Hamzawi (Diane Dufossoir) Scénario : Benjamin Guedj Adaptation : Benjamin Guedj Dialogues : Benjamin Guedj Directeur de production : Charlotte Ortiz Pierre Foulon Directeur de la photographie : Stéphane Le Parc Compositeur de la musique : Mathieu Lamboley Monteur : Audrey Simonaud Chef décorateur : Maamar Ech Cheikh Costumier : Laurence Chalou
Production
Producteur : Cyril Colbeau-Justin Jean-Baptiste Dupont Production : LGM Cinéma Pathé TF1 Films Production CN5 Productions Appaloosa Cinéma Distribution : Pathé Distribution Directeur de production : Charlotte Ortiz Pierre Foulon
En coproduction avec : Nexus Factory Umedia En association avec : Ufund Avec la participation de : OCS TF1 En association avec : A plus image 7 Palatine étoile 14
Fiche artistique
Réalisateur : Pascal Bourdiaux Scénario : Benjamin Guedj Adaptation : Benjamin Guedj Dialogues : Benjamin Guedj Scripte : Chantal Pernecker Interprètes : Charlie Langendries (Boule) Manu Payet (Voix de Bill) Franck Dubosc (Papa de Boule) Mathilde Seigner (Maman de Boule) Jean-François Cayrey (Antoine Berigaud) Nora Hamzawi (Diane Dufossoir)
Fiche technique
Photographie : Stéphane Le Parc Compositeur de la musique : Mathieu Lamboley Ingénieur du son : Antoine Deflandre Monteur : Audrey Simonaud Chef décorateur : Maamar Ech Cheikh Costumier : Laurence Chalou Casting : Catherine Chevron Sebastian Moradiellos Michaël Bier Photographe de plateau : Nicolas Schul Assistant réalisateur : François Domange Supervision post-production : Véronique Marchand (directeur de post-production)
Résumé et notes
RÉSUMÉ
La famille de Boule mène une existence aussi heureuse que paisible. Bill est parfaitement intégré dans cette petite famille, Boule travaille bien à l'école, sa maman donne des cours de piano à domicile tandis que son père est un dessinateur reconnu.
Tout bascule lorsque l'éditrice de ses bandes dessinées, bourrue et acariâtre, rejette le travail du père de Boule. Elle y voit une grosse panne d'inspiration due au fait que sa famille vit dans un bonheur très négatif sur sa créativité. Le père de Boule revient à la maison avec la ferme intention de réveiller sa famille de ce bonheur en générant un grand nombre de « bêtises ».
Boule et Bill mais aussi la maman vont également se mettre à faire dérailler ce « bonheur » familial jusqu'à l'explosion.
D’après le synopsis publicitaire du film
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Extraits du dossier de presse du film, collection de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
- ENTRETIEN AVEC PASCAL BOURDIAUX
Qu’est-ce qui vous intéressait en tant que metteur en scène dans cette histoire et ces personnages ?
Je n’écris pas les scénarios des films que je tourne et quand j’en choisi un c’est qu’il sort du lot, me touche ou me fait rire. Là, je trouvais ça rigolo que le papa de Boule mette le bazar au sein de sa famille pour retrouver les faveurs de son éditrice ! Il y avait là matière à une bonne comédie en opposant cet homme à ses proches qui ne comprenaient évidemment pas ce qui pouvait bien lui arriver…
Venons-en à vos comédiens à commencer par Franck Dubosc que vous retrouvez après FISTON en 2013
C’est quelqu’un que j’aime beaucoup, humainement et professionnellement. C’est un très gros bosseur : c’est un acteur qui est toujours dans la proposition mais jamais décalé, très juste, à la recherche du détail, du petit mot qui va faire rire. Je suis persuadé que Franck est un acteur qui travaille tous les soirs avant de jouer ses scènes du lendemain en essayant de perfectionner les choses au maximum. Diriger ce genre de comédien est extrêmement facile : il s’agit juste de décider avec lui à quel niveau on place le curseur et nous en parlons longuement en amont du tournage. C’est Robert Altman qui disait : « la direction d’acteur, elle se fait lors du casting… » En fait, quand Franck arrive sur le plateau, il sait exactement qui est le personnage…
Parlez-nous de Mathilde Seigner dans le rôle de la Maman…
Ce personnage a été une vraie découverte pour elle : jouer une femme qui découvre que son mari ne va pas bien, qu’il enchaîne les conneries mais qui décide d’en jouer, de s’en moquer. D’habitude, dans ses films, Mathilde a un jeu très naturaliste : là, il fallait colorer les choses et nous en avons pas mal discuté avant le tournage. Elle se demandait si elle pouvait répondre à nos attentes mais moi je n’ai jamais eu aucun doute car c’est une excellente actrice avant tout. Dès la première journée, elle était le personnage… Et puis humainement la rencontre avec Mathilde a été une belle surprise : on a l’image d’un caractère fort et je me demandais comment ça allait se passer entre nous mais j’ai vite été « rassuré » : souriante, adorable, enthousiaste, elle a enchanté toute l’équipe !
Comment parleriez-vous de Charlie Langendries, qui incarne Boule ?
C’est son premier film et il est incroyable : une bouille, du caractère… Nous avons vu beaucoup d’enfants pour le rôle, autour de 400, et c’était très compliqué de trouver le bon. Pour des raisons de coproduction, il fallait qu’il soit belge mais sans accent, qu’il soit roux, qu’il ait le bon âge, qu’il joue… Et puis j’ai vu les essais de Charlie, qui avait les cheveux bruns et qui auditionnait pour un autre personnage. Il dégageait quelque chose de particulier, de fort : il jouait vraiment… D’ailleurs, en le confrontant avec Elliot Goldberg qui joue Wilfried, le « méchant » du film, j’ai eu un peu peur : il avait une telle présence, un tel répondant, qu’il prenait l’ascendant sur lui, alors que Boule doit être intimidé par ce nouveau venu à l’école ! J’ai donc demandé à Charlie de se radoucir un peu, pour le faire jouer un peu plus dans la gentillesse et il a pigé tout de suite… Une teinture rousse et des taches de rousseur au maquillage ont fait le reste !
- Sortie : 12/04/2017
Date de la publication électronique : | 03 January 2017 |
Sources : | Matériel publicitaire de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé |