La Grève des forgerons – Georges Monca – 1910
Fiche générale
Numéro de film : 3739 Genre : Scènes dramatiques et réalistes (8me Série) Production : Société Cinématographique des Auteurs et Gens de Lettres (SCAGL) Édition : Pathé frères Réalisateur : Georges Monca Interprètes : Henry Krauss (le père Jean) André Simon (le patron) Mévisto (Julot) Caillet Gina Barbieri (la femme de Jean) la petite Maria Fromet Adaptation : Léon Nunès : d’après la nouvelle homonyme de François Coppée (1869)
Production
Production : Société Cinématographique des Auteurs et Gens de Lettres (SCAGL) Édition : Pathé frères
Fiche artistique
Réalisateur : Georges Monca Adaptation : Léon Nunès : d’après la nouvelle homonyme de François Coppée (1869) Interprètes : Henry Krauss (le père Jean) André Simon (le patron) Mévisto (Julot) Caillet Gina Barbieri (la femme de Jean) la petite Maria Fromet
Fiche technique
Résumé et notes
Genre : Scènes dramatiques et réalistes (8me Série) Métrage : 280 m ; 918.4 f. Code télégraphique : Marâtre
RÉSUMÉ
Mécontents, les ouvriers d’une fonderie décident de faire grève si le patron n’accepte pas leurs revendications. Le plus vieux des ouvriers est le père Jean et les autres ouvriers voudraient qu’il se joigne à eux. Il refuse tout d’abord puis finalement accepte. Le soir, à l’estaminet, un ultimatum est rédigé et le père Jean est choisi pour le porter à leur patron. Il revient avec une réponse négative. L’ordre de grève est alors lancé. Outre sa femme, Jean a deux enfants et bientôt la petite famille est dans une situation critique. Tous les meubles sont vendus, un des enfants est malade et l’autre pleure de faim. Le père Jean ne peut plus supporter cela plus longtemps et décide de reprendre le travail. Auparavant, il va rendre compte de sa décision à ses camarades. Mais ils ne l’entendent pas ainsi et un des leurs le traite de lâche. Le vieux forgeron veut laver cette insulte en se battant contre l’insulteur. L’autre accepte et ils choisissent comme armes de pesants marteaux. Dans la lutte, Jean perd tout contrôle et tue son adversaire. Il est mis en prison et ses deux enfants viennent le voir emmené par le patron. Au tribunal, Jean est acquitté. Il quitte le banc des prévenus et rencontre son vieux patron qui lui offre un emploi ce qu’il accepte avec gratitude.
En savoir plus
Annoncé dans Ciné-Journal, n° 107, 10.9.1910
Compte rendu : The Bioscope, 11.8.1910
Sortie : Omnia Pathé, Paris, 16 au 22.9.1910
Sources S. Dalton : Catalogue Pathé Des Années 1896 À 1914, (1910-1911), Henri Bousquet |p 321-322 |y sum
Date de la publication électronique : | 24 November 2008 |
Sources : |
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